On commence à avoir une idée précise de comment l'iPhone fonctionne sur le plan matériel. Il semble que le téléphone d'Apple soit équipé du processeur d'application S3C6400. Celui-ci incorpore un noyau de ARM1176 cadencé à 667 MHz. Toutefois, la fréquence du processeur est variable et peut monter jusqu'à 700 MHz. Selon GearLog, c'est le processeur le plus rapide vu à ce jour dans un téléphone.

Le diagramme du S3C6400
Concernant l'ARM1176, il se distingue par l'utilisation de plusieurs technologies :
- TrustZone, qui ne devrait pas ravir les bidouilleurs. Elle fournit un environnement informatique sécurisé qui protège les informations confidentielles des utilisateurs, l’intégrité des appareils et les transactions électroniques.
- ARM Intelligent Energy Manager (IEM) qui permet de réduire la consommation du processeur jusqu'à 50 % et a été conçu dans l'optique d'un usage multimédia.
- Jazelle qui permet d'accélérer considérablement l'exécution des applications Java. Comme quoi, si elle le désire, Apple pourrait offrira la prise en charge de Java.
- Thumbs, un jeu d'instructions qui permet un gain de mémoire important.

La puce de Samsung est résolument tournée vers le multimédia. Grâce à un accélérateur multimédia, le S3C6400 offre la prise en charge du MPEG4, H.263 et H.264. L'encodeur matériel est suffisamment véloce pour faire de la vidéo-conférence. Il peut également envoyer un signal externe vers un téléviseur PAL/NTSC. Notez enfin qu'il possède un accélérateur 2D. Samsung a débuté la production de ce processeur au mois de février.
Il est à noter également qu'iPhone partage un certain nombre de composants avec iPod. Outre la mémoire Flash, les deux appareils utilisent les mêmes puces Wolfson pour l'audio. Comme le note Semiconductor.com, sur le plan des composants, iPhone n'a rien de révolutionnaire par rapport à ses concurrents. Hormis un processeur un peu plus puissant que la moyenne, iPhone dispose des mêmes puces que ses concurrents. Par exemple, la puce responsable du Bluetooth est la même que sur le Pearl. Ce qui fait la différence entre iPhone et la concurrence, c'est comme souvent chez Apple, l'intégration entre le logiciel et le matériel.

Concernant l'ARM1176, il se distingue par l'utilisation de plusieurs technologies :
- TrustZone, qui ne devrait pas ravir les bidouilleurs. Elle fournit un environnement informatique sécurisé qui protège les informations confidentielles des utilisateurs, l’intégrité des appareils et les transactions électroniques.
- ARM Intelligent Energy Manager (IEM) qui permet de réduire la consommation du processeur jusqu'à 50 % et a été conçu dans l'optique d'un usage multimédia.
- Jazelle qui permet d'accélérer considérablement l'exécution des applications Java. Comme quoi, si elle le désire, Apple pourrait offrira la prise en charge de Java.
- Thumbs, un jeu d'instructions qui permet un gain de mémoire important.

La puce de Samsung est résolument tournée vers le multimédia. Grâce à un accélérateur multimédia, le S3C6400 offre la prise en charge du MPEG4, H.263 et H.264. L'encodeur matériel est suffisamment véloce pour faire de la vidéo-conférence. Il peut également envoyer un signal externe vers un téléviseur PAL/NTSC. Notez enfin qu'il possède un accélérateur 2D. Samsung a débuté la production de ce processeur au mois de février.
Il est à noter également qu'iPhone partage un certain nombre de composants avec iPod. Outre la mémoire Flash, les deux appareils utilisent les mêmes puces Wolfson pour l'audio. Comme le note Semiconductor.com, sur le plan des composants, iPhone n'a rien de révolutionnaire par rapport à ses concurrents. Hormis un processeur un peu plus puissant que la moyenne, iPhone dispose des mêmes puces que ses concurrents. Par exemple, la puce responsable du Bluetooth est la même que sur le Pearl. Ce qui fait la différence entre iPhone et la concurrence, c'est comme souvent chez Apple, l'intégration entre le logiciel et le matériel.